Paradis des turfistes
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

Jeu historique

5 participants

Page 30 sur 31 Précédent  1 ... 16 ... 29, 30, 31  Suivant

Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Ven 25 Juil - 17:29

Jeu historique - Page 30 265389628   LES AMIS   Jeu historique - Page 30 875551000 

EUMOLPOS

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Eumolpos est, du moins selon la tradition la plus répandue, le fils de Poséidon et de Chioné, elle-même fille de Borée et d'Orithye. Chioné, par peur de son père, jeta l'enfant nouveau-né dans la mer. Poséidon le recueillit et l'emmena en Ethiopie, où il le confia à une fille qu'il avait eue d'Amphitrite, Benthésicymé. Celle-ci l'éleva. Quand il fut grand, la mari de sa mère adoptive lui donna l'une de ses filles comme femme. Mais Eumolpos essaya de violer l'une de ses belles sœurs et on le bannit. Avec son fils Ismaros, il se rendit alors auprès du roi de Thrace Tégyrios, qui donna l'une de ses filles à Ismaros. Mais Eumolpos prit part à un complot contre Tégyrios ; il fut surpris et dut s'enfuir. Il se réfugia alors à Eleusis et se fit bien voir des habitants de cette ville. Plus tard, Ismaros étant mort, Eumolpos se réconcilia avec Tégyrios, qui le rappela auprès de lui et lui légua son royaume. C'est à ce moment, une fois Eumolpos roi de Thrace, que la guerre éclata entre les habitants d'Eleusis et les Athéniens conduits par Erechthée. Appelé par ses amis, Eumolpos vint à leur secours à la tête d'une armée de Thraces. Mais il fut vaincu par les Athéniens et tué. Son père Poséidon le vengea, en obtenant de Zeus qu'Erechthée, vainqueur, fut foudroyé.

Différentes traditions attribuent au Thrace Eumolpos l'institution des mystères d'Eleusis. C'est lui qui purifia Héraclès du meurtre des Centaures. La famille sacerdotale des Eumolpides se considérait comme descendant de lui. Son fils Céryx (le Héraut) fut, après sa mort, chargé d'un rôle dans les Mystères . C'est lui l'ancêtre des Céryces, les hérauts, qui présidaient aux initiations à Eleusis.

Certaines traditions lient Eumolpos à Muse, dont elles font tantôt son père et tantôt son fils. Mais les auteurs sont loin de s'entendre sur la personnalité de l'Eumolpos, fondateur des mystères. Certains vont même jusqu'à le considérer comme un personnage tout à fait différent du fils de Chioné. Il serait le fils de Déiopé et le petit fils de Triptolème.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Ven 25 Juil - 19:25

Jeu historique - Page 30 1352686948 LES POTOS

M comme MAUPASSANT (GUY DE)

Henry-René-Albert-Guy de Maupassant (prononcé [gi d(ə) mo.pa.ˈsɑ̃ ]), est un écrivain français né le 5 août 1850 au château de Miromesnil à Tourville-sur-Arques1 (Seine-Inférieure) et mort le 6 juillet 1893 à Paris.

Lié à Gustave Flaubert et à Émile Zola, Guy de Maupassant a marqué la littérature française par ses six romans, dont Une vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, et surtout par ses nouvelles (parfois intitulées contes) comme Boule de suif en 1880, les Contes de la bécasse (1883) ou Le Horla (1887). Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent, mais aussi par la maîtrise stylistique. La carrière littéraire de Maupassant se limite à une décennie — de 1880 à 1890 — avant qu’il ne sombre peu à peu dans la folie et ne meure peu avant ses quarante-trois ans. Reconnu de son vivant, il conserve un renom de premier plan, renouvelé encore par les nombreuses adaptations filmées de ses œuvres2.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Lun 28 Juil - 7:18

Jeu historique - Page 30 265389628   les amis   Jeu historique - Page 30 875551000 

URSULE DE COLOGNE

ainte Ursule (fête le 21 octobre) est au centre de la tradition chrétienne des onze mille vierges, née au IXe siècle, puis transformée et amplifiée au XIIIe siècle après la découverte d'une pierre tombale, dans une petite chapelle de Cologne, attribuée ultérieurement à une certaine Ursula, une fillette de huit ans.

Étymologiquement, Ursule est un diminutif du latin ursus qui veut dire « ours » (Ursule signifiant donc « petite ourse »).

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Statue dans l'église Sainte-Ursule, Cologne, Allemagne

Légende de sainte Ursule

L'origine historique de la légende des onze mille vierges s'est réalisée en plusieurs étapes : au début du Ve siècle une basilique funéraire est reconstruite à Cologne, sur les tombes de martyres, massacrées par une armée de Huns en 383. Au IXe siècle une inscription abrégée XI.M.V., qu'il faut traduire par « onze vierges martyres » fut lue de façon fautive en « onze mille vierges », et on y ajouta un nom lu sur une inscription funéraire voisine, Ursula, une enfant de huit ans. En 1106, des fouilles dans le cimetière qui entourait l'église mirent au jour de nombreux restes humains, aussitôt qualifiés de reliques, qui justifièrent le nombre de ces vierges. Sur ces bases se développa la légende.

Il en existe plusieurs versions entremêlées. Telle qu'elle est synthétisée par la croyance populaire, notamment rapportée par Jacques de Voragine entre 1261 et 1266 dans la Légende dorée, il s'agirait d'une princesse bretonne des Cornouailles du IIIe siècle (ou IVe siècle) qui aurait accompli, pour fuir son prétendant, un pèlerinage de 3 ans auprès de Saint Cyriaque de Rome. À son retour, elle aurait été capturée par les Huns et aurait refusé d'épouser leur chef Attila, et donc d'abjurer sa foi. Elle est massacrée, criblée de flèches par les Huns qui assiégaient Cologne, ainsi que ses suivantes vierges, au nombre de onze mille.

Le dictionnaire de l’argot des typographes de 1883 prétend que c’est une coquille qui transforma le prénom de sa suivante Undecimille en undecim millia (latin pour « onze mille »

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par alain90 Lun 28 Juil - 18:40

Jeu historique - Page 30 1352686948 



SAINT AUGUSTIN D HIPPONE


Augustin d'Hippone (Aurelius Augustinus), ou saint Augustin, né à Thagaste (actuelle Souk-Ahras, Algérie) le 13 novembre 354, mort le 28 août 430 à Hippone (actuelle Annaba), était un philosophe et théologien chrétien, évêque catholique d'Hippone, et un écrivain romain d'origine berbère de l'Antiquité tardive.

Il est l'un des principaux Pères de l'Église latine et l'un des 33 Docteurs de l'Église. Les catholiques célèbrent sa fête le 28 août, anniversaire de sa mort. Sa tombe se trouve à Pavie.

Saint Augustin est le seul Père de l'Église dont les œuvres et la doctrine aient donné naissance à un système de pensée : l'augustinisme. Son influence est marquée à travers les âges, depuis Paul Orose jusqu'à Paul Ricœur, en passant par Anselme de Cantorbéry, Thomas d'Aquin, Luther, Calvin, Pascal, Adolf von Harnack, hannah arendt... Elle fut immense sur toute l'histoire de l'Église en Occident : l'augustinisme imprégna en effet toute la réflexion philosophique et théologique médiévale, puis alimenta les débats lors de la Réforme protestante, puis encore le jansénisme. Les débats suscités par l'interprétation de l'augustinisme ont largement contribué aux conceptions modernes de la liberté et de la nature humaine.
alain90
alain90
president d hippodrome

Nombre de messages : 36598
Age : 74
Date d'inscription : 16/10/2011

Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par THIERRY 25 Ven 1 Aoû - 8:59

SALUT...
Pas inspiré par le I ....

 Jeu historique - Page 30 93660 

Henri IV « le Grand » ou « le Vert-Galant »
(13 décembre 1553 – 14 mai 1610)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Descendant de Robert de Clermont, le dernier fils de Louis IX. Roi de Navarre depuis 1572, il devient roi de France le 2 août 1589 à la mort de son cousin éloigné Henri III, qui l'a désigné comme successeur. Il abjure le protestantisme pour être sacré à Chartres le 27 février 1594. Assassiné par François Ravaillac.
THIERRY 25
THIERRY 25
president d hippodrome

Nombre de messages : 45672
Age : 65
Date d'inscription : 05/01/2011

http://thierry-parisota@orange.fr

Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par alain90 Mer 6 Aoû - 12:38

Jeu historique - Page 30 265389628 


N comme Julius Nyerere

Né en 1922



Homme politique tanzanien au pouvoir de 1962 à 1985.

alain90
alain90
president d hippodrome

Nombre de messages : 36598
Age : 74
Date d'inscription : 16/10/2011

Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Jeu 7 Aoû - 12:36

Jeu historique - Page 30 565987 SUPER ALAIN

E COMME EDOUARD VI

BON JEUDI A TOI

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par alain90 Ven 8 Aoû - 9:18

Jeu historique - Page 30 265389628 Les potes.


O comme Otton Ier du Saint-Empire



Otton Ier, surnommé en français Otton le Grand, est né le 23 novembre 912[1] à Wallhausen en Saxe et mort au palais familial de Memleben en Thuringe le 7 mai 973[2]. Fils d'Henri Ier l'Oiseleur et de Mathilde de Ringelheim, il doit son prénom à son grand-père Otton Ier, duc de Saxe qui, agonisant, décède huit jours après sa venue au monde, le 30 novembre 912[3]. Le jeune Otton succède à son père Henri Ier, roi de Francie orientale mort le 2 juillet 936, et s'impose en souverain politique de plus en plus incontesté malgré les premières révoltes. Il finit par accaparer petit à petit la fonction puis la dignité impériale jusqu'à sa mort en 973. Son corps est enterré dans la cathédrale de Magdebourg.

Durant un long règne, il donne à la royauté germanique rayonnement et prestige, tant par le sens de la gestion politique que par les victoires militaires. Il se proclame roi d'Italie après avoir épousé en 951 la reine Adelaïde, veuve du roi Lothaire. Il parvient à s'impliquer dans la délicate politique italienne et à restaurer la dignité impériale à son profit. Il est élu par ses troupes et couronné empereur des Romains par le pape Jean XII en 962. Par ses réformes administratives privilégiant le clergé épiscopal et la collégialité des prélats et princes au détriment des monastères, il est le véritable fondateur du Saint-Empire romain germanique même si cette dénomination n'apparaît qu'au XVe siècle[4]. Cette première entité politique dénommée en allemand moderne Reich perdure jusqu'en 1806.

alain90
alain90
president d hippodrome

Nombre de messages : 36598
Age : 74
Date d'inscription : 16/10/2011

Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Mar 19 Aoû - 18:51

Jeu historique - Page 30 265389628   LES POTOS   Jeu historique - Page 30 875551000 

TAYGETE

Dans la mythologie grecque, Taygète (en grec ancien Ταϋγέτη / Taügétê) est une des sept Pléiades, fille d'Atlas et de Pléioné. Aimée de Zeus, elle est la mère de Lacédémon, fondateur mythique de Sparte.

Elle passe en outre pour avoir consacré la biche de Cérynie à Artémis.

Taygète et Zeus


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Taygete - Jane Maclean




La belle Pléiade, fille d'Atlas et de Pléioné avait attiré l'œil de Zeus. Il la poursuivait avec assiduité et semblait bien sur le point de la séduire.


Artémis vint à son secours et transforma Taygète en Biche, afin de la faire échapper à Zeus. Lorsque celui-ci se fut éloigné, Taygète repris sa forme et consacra la biche à Artémis.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Mar 19 Aoû - 21:23

Jeu historique - Page 30 265389628 les potos

Y comme YACHVILI DIMITRI

Dimitri Yachvili, né le 19 septembre 1980 à Brive-la-Gaillarde (Corrèze), est un joueur de rugby à XV français. Il joue en équipe de France et évolue au poste de demi de mêlée au sein de l'effectif du Biarritz olympique. Il est marié à Maïder et a deux enfants, Lucas, né le 25 novembre 2004 et Justine, née le 5 mai 2008. Il est le fils de Michel Yachvili,joueur de rugby à XV et d'une mère d'origine arménienne3, le frère des joueurs de rugby à XV Grégoire Yachvili et Charles-Édouard Yachvili. Son grand-père, Charles, est un soldat géorgien de l'Armée soviétique pendant la Seconde Guerre mondiale, qui est fait prisonnier par la Wehrmacht et envoyé en camp. Après s'être échappé, il se retrouve dans le Limousin où il participe aux mouvements de résistance de la province et où il s'installe définitivement après la fin des hostilités..

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par alain90 Jeu 21 Aoû - 16:53

Jeu historique - Page 30 1352686948 


C comme Casimir III de Pologne


Casimir III Piast, dit le Grand, né le 30 avril 1309, mort le 5 novembre 1370, roi de Pologne de 1333 à 1370, fils de Ladislas Ier le Bref, roi de Pologne, et d'Hedwige de Kalisz.

Casimir III est le seul roi de Pologne à porter le titre de « Grand ». Néanmoins, aucun de ses quatre mariages successifs ne lui ayant permis d'enfanter un fils, il dut céder le trône à sa mort à son neveu Louis Ier de Hongrie.

alain90
alain90
president d hippodrome

Nombre de messages : 36598
Age : 74
Date d'inscription : 16/10/2011

Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Jeu 21 Aoû - 20:32

Jeu historique - Page 30 265389628   LES POTOS    Jeu historique - Page 30 875551000 

SEMO SANCUS

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Statue de Semo Sancus trouvé près de Saint-Sylvestre du Quirinal

Le mot Semo est rapporté par le chant des Frères Arvales, où, pris au pluriel, il sert à désigner une catégorie de génies apparentés aux Lares et invoqués de concert avec eux. Les Semones peuvent être classés à côté des Lares, des Pénates et des Mânes, comme un groupe de forces divines qui président à la germination des graines et à la prospérité des semailles. Semo est de la même racine que semen, seminare. Le catalogue des indigitamenta mentionne également parmi les divinités agricoles une Semonia.

Pour la désignation du dieu Semo, le vocable Sancus a une valeur limitative ; il exprime la fonction spéciale d'un génie de la classe des Semones. Sancus partage la racine des mots latins sancio et sanctus, qui permet d'interpréter sancus par « celui qui confirme, garantit. »

Par cette fonction, Semo Sancus apparaît comme semblable au Dius Fidius que les Ombriens nommaient Sancius Fisius ou Fisovius et qu'ils identifiaient avec Jupiter : les tables eugubines nomment un Jupiter Sancius rendu par une inscription plus récente sous le nom de Jupiter Jurarius. Comme dans la religion romaine, la sainteté du serment est, en principe, sous la garde du dieu suprême, Semo Sancus a pu se confondre tantôt avec Jupiter, tantôt avec Hercule chez les Latins, les Sabins et les Ombriens, et aussi former un être à part ayant une fonction semblable.

Semo Sancus n'est donc pas propre aux Sabins qui l'auraient introduit à Rome : il serait très probablement d'origine latine et aurait rayonné chez les divers peuples de l'Italie centrale.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Jeu 21 Aoû - 22:45

Jeu historique - Page 30 1352686948 

M comme MALRAUX André

Biographie d’André Malraux (1901-1976)

André MalrauxAndré Malraux est né en novembre 1901 à Paris.
Il abandonne ses études secondaires à l’âge de dix-sept ans, mais suit des cours au musée Guimet et à l’École du Louvre. Il publie des articles sur des artistes qu’il fréquente alors qu’il est encore très jeune.
En 1923, il part en mission au Cambodge avec sa femme et est arrêté pour avoir enlevé au temple de Banteai-Srei (à Angkor) un bas-relief. Il est alors traduit en justice et condamné. Les protestations des milieux littéraires français parviennent à le faire libérer.
Revenu en France, il est directeur de collection chez des éditeurs. Il publie La Tentation de l’Occident (1926), puis Les Conquérants (1928), La Voie royale (1930) et La Condition humaine (1933 ; prix Goncourt). Ces romans ont pour cadre l’Extrême-Orient.
Dans les années 30, Malraux s’engage dans la lutte contre le fascisme (ainsi, il est à la tête de l’escadrille España auprès des Républicains pendant la guerre civile en Espagne).
En 1937, il publie L’Espoir.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Malraux dirige dans la Résistance un groupe de maquisards. Il est arrêté par la Gestapo en 1944 mais il est libéré lors du départ précipité des Allemands de la prison où il était incarcéré (à Toulouse).
En 1945, il rencontre le général de Gaulle et devient ministre de l’Information. Peu de temps après, de Gaulle quitte le pouvoir et Malraux met entre parenthèses sa carrière politique. Malraux écrit des études sur l’art formant un ensemble publié en 1951 : Les Voix du silence.
En 1958, de Gaulle revient au pouvoir et Malraux est nommé ministre des Affaires culturelles, fonction qu’il assumera jusqu’en 1969. Parallèlement, il écrit ses mémoires (Antimémoires en 1967).
Malraux est mort en novembre 1976 à Créteil.
Lire la suite sur [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Sam 23 Aoû - 9:33

Jeu historique - Page 30 265389628   LES AMIS   Jeu historique - Page 30 875551000 

LIBERTE

Libertas, ou Liberté en français (Libertas, Libertatis en latin) était une déesse romaine.

C'est la déesse qui a inspiré le mot liberté. Elle est représentée dans la fameuse Statue de la Liberté, portant une torche et un livre romain. Il semblerait aussi qu'elle ait inspiré le personnage Marianne

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


Libertas ou la Liberté, divinité allégorique romaine. - On la disait fille de Jupiter et de Junon.  En tout cas, ce nom se rattache à Jupiter Liber, à Liber Pater et à Libera : c'est donc dans le principe la déesse de la libre jouissance d'une heureuse et insouciante vie. Plus tard cette déesse personnifia la liberté du citoyen romain en opposition avec l'esclavage, et plus tard encore la haine des tyrans.

Elle était représentée sous la figure d'une belle femme, richement vêtue, assez semblable à Vénus,  tenant un sceptre à la main, quelquefois une lance, et coiffée du bonnet phrygien, par allusion à la coutume des Romains d'en remettre un à l'esclave qu'ils voulaient affranchir. A ses pieds était un chat, animal ennemi de toute contrainte.

Où se trouvait à Rome le fameux atrium de la Liberté? C'est là ce qui est difficile à établir. C'était un local consacré aux affaires de la vie publique, où on affichait les lois, où on tenait des archives, où on affranchissait des esclaves. Outre cet atrium, il y avait un temple de la déesse, sur l'Aventin, si riche en vieux souvenirs de liberté : Sempronius Gracchus, le père du vainqueur de Bénévent, avait fondé cet édifice.

Enfin, on nous parle d'un autre atrium de la liberté, qu'Asinius Pollion restaura, et où il fonda la première bibliothèque publique. On parla peu de liberté sous les empereurs, tout au plus sous les bons, et encore d'une liberté relative. Nous savons pourtant qu'après la mort de Commode, le sénat fit abattre une statue que ce prince s'était dressée sous les habits d'Hercule, et mit à la place la statue de la Liberté.

Pendant la Révolution française, on vit, sur les places publiques, des statues de la Liberté à la place de celles des rois, et, dans certaines solennités publiques, des femmes représentèrent la Liberté, ainsi que la déesse Raison. (L. Preller / R.).

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Sam 23 Aoû - 10:30

Jeu historique - Page 30 565987 LES POTOS

BON SAMEDI A VOUS

B comme BARABAS

Nous avons entendu son nom maintes fois. Nous le voyons dans les films qui relatent la vie de Jésus. Au jour de la crucifixion, nous le voyons avec Jésus. Son nom est Barabbas. Barabbas, fut un criminel, responsable d’insurrection, de meurtre et de cambriolage. Il était meurtrier. C’est ainsi que Pierre l’appelle dans les Actes 3:14. La sentence rendue pour ses actions a été la mort. Le nom de Barabbas est composé de “Bar” qui signifie fils et de “abas” qui signifie père. Il était “fils d’un père” c.-à-d. un fils de quelqu’un. Nous le voyons ici avec Jésus devant Pilate. D’une part l’innocent, Jésus Christ, le Fils de Dieu. Aucun mal n’a été trouvé en Lui. Il allait partout faisant du bien et guérissant les malades. Et pourtant Il est sur la liste des condamnés à mort. D’autre part un meurtrier, un criminel qui était condamné à mort. L’un de deux doit être crucifié et Barabbas a toutes les raisons d’être là. La croix est sa fin normale. Mais lisons le passage correspondant dans Luc 23:13-25:



“Pilate, ayant assemblé les principaux sacrificateurs, les magistrats, et le peuple, leur dit: Vous m'avez amené cet homme comme excitant le peuple à la révolte. Et voici, je l'ai interrogé devant vous, et je ne l'ai trouvé coupable d'aucune des choses dont vous l'accusez; Hérode non plus, car il nous l'a renvoyé, et voici, cet homme n'a rien fait qui soit digne de mort. Je le relâcherai donc, après l'avoir fait battre de verges. A chaque fête, il était obligé de leur relâcher un prisonnier. Ils s'écrièrent tous ensemble: Fais mourir celui-ci, et relâche-nous Barabbas. Cet homme avait été mis en prison pour une sédition qui avait eu lieu dans la ville, et pour un meurtre. Pilate leur parla de nouveau, dans l'intention de relâcher Jésus. Et ils crièrent: Crucifie, crucifie-le! Pilate leur dit pour la troisième fois: Quel mal a-t-il fait? Je n'ai rien trouvé en lui qui mérite la mort. Je le relâcherai donc, après l'avoir fait battre de verges. Mais ils insistèrent à grands cris, demandant qu'il fût crucifié. Et leurs cris l'emportèrent: Pilate prononça que ce qu'ils demandaient serait fait. Il relâcha celui qui avait été mis en prison pour sédition et pour meurtre, et qu'ils réclamaient; et il livra Jésus à leur volonté.”

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Dim 24 Aoû - 7:23

Jeu historique - Page 30 265389628   LES AMIS    Jeu historique - Page 30 875551000 

RHEA SYLVIA

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
RHEA SYLVIA

La vestale Rhéa Silvia, aussi appelée Ilia (« la Troyenne »), donne naissance à Romulus et Rémus avec Mars (dieu de la guerre). Horace raconte que Rhéa Silvia voit en songe Romulus et Rémus peu avant d'accoucher, sous l'aspect de palmiers aux branches majestueuses se dressant vers le ciel.

Petite-fille du roi Procas et fille de Numitor, Rhéa Silvia est élevée à la dignité sacerdotale de vestale dans la ville d'Albe-la-Longue par son oncle Amulius qui a usurpé le trône albain.

Le but de la consécration à Vesta est de la priver de descendance. Tite-Live affirme d'ailleurs que, par la même occasion, Amulius tue Lausus, le fils de son frère Numitor1. Malgré son statut de prêtresse de Vesta qui la condamne à une rigoureuse chasteté, le dieu Mars vient la voir en rêve durant son sommeil et lui donne deux jumeaux, Romulus et Rémus. Selon Tite-Live, le cruel Amulius fait alors emmurer la vestale et condamne les nourrissons à être jetés dans le Tibre, dont ils sortiront miraculeusement indemnes, avant de venir se venger de l'usurpateur plusieurs années plus tard.

Selon la tradition, c'est le Sabin Numa Pompilius, le deuxième roi, qui introduit et réglemente le culte de Vesta à Rome.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Dim 24 Aoû - 9:50

Jeu historique - Page 30 565987 les potos

excellent dimanche à vous

E comme Albert EINSTEIN


lbert Einstein (né le 14 mars 1879 à Ulm, Wurtemberg, et mort le 18 avril 1955 à Princeton, New Jersey) est un physicien théoricien qui fut successivement allemand, puis apatride (1896), suisse (1901), et enfin sous la double nationalité helvético-américaine (1940)1.

Il publie sa théorie de la relativité restreinte en 1905, et une théorie de la gravitation dite relativité générale en 1915. Il contribue largement au développement de la mécanique quantique et de la cosmologie, et reçoit le prix Nobel de physique de 1921 pour son explication de l’effet photoélectrique2. Son travail est notamment connu du grand public pour l’équation E=mc2, qui établit une équivalence entre la matière et l’énergie d’un système.

Il est aujourd'hui considéré comme l'un des plus grands scientifiques de l'histoire, et sa renommée dépasse largement le milieu scientifique. Son nom est passé dans le langage courant comme synonyme de génie.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Lun 25 Aoû - 18:26

Jeu historique - Page 30 265389628   les  amis   Jeu historique - Page 30 875551000

NELEE

Dans la mythologie grecque, Nélée (en grec ancien Νηλεύς / Nêleús), fils du dieu Poséidon (ou bien d'Hippocoon selon Hygin) et de Tyro, est roi de Pylos.

Avec son frère Pélias, délaissés par leur mère, ils sont recueillis et élevés par un berger. À l'âge adulte, ils sont reconnus par leur mère, laquelle a épousé entre-temps Créthée, roi d'Iolcos. À la mort de ce dernier, les deux frères et leurs demi-frères se querellent au sujet de l'héritage. Vaincu, Nélée se retire en Messénie avec les fils de son demi-frère Amythaon. Là, Apharée, cousin de Tyro, leur permet de s'installer à Pylos.

Il épouse Chloris, fille de Niobides, dont il a douze fils et une fille, parmi lesquels Nestor, le « vieux meneur de chars » de la guerre de Troie, Périclyménos, Chromios et Péro. Il renouvelle également les Jeux olympiques.

Furieux d'avoir essuyé un refus d'être purifié par Nélée, Héraclès tua ses fils, à l'exception de Nestor, absent, et Iphitos. Nélée est enterré sur l'isthme de Corinthe.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par alain90 Mer 27 Aoû - 9:57

Jeu historique - Page 30 265389628


L comme James Lancaster



James Lancaster (sir) est un navigateur anglais né vers 1554. Il travaille pour le compte de la Compagnie des Indes orientales et dirige plusieurs expéditions dans l'océan Indien et les îles de la Sonde.

En 1592, il est le premier Anglais à atteindre l'Inde par le cap de Bonne-Espérance.

Il explore ensuite des eaux plus septentrionales à la recherche du passage du Nord-Ouest et son nom est donné au détroit qui sépare la terre de Baffin de l'île Devon. Il meurt à Londres le 6 janvier 1618.
alain90
alain90
president d hippodrome

Nombre de messages : 36598
Age : 74
Date d'inscription : 16/10/2011

Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Mer 27 Aoû - 21:54

Jeu historique - Page 30 265389628   les amis  Jeu historique - Page 30 875551000

NUIT

La Nuit, déesse des ténèbres, fille du Chaos, est de fait la plus ancienne des divinités. Certains poètes en font la fille du Ciel et de la Terre ; Hésiode la met au nombre des Titans, et la nomme la mère des dieux, parce qu'on a toujours cru que la nuit et les ténèbres avaient précédé toutes choses. Elle épousa l'Érèbe, son frère, dont elle eut l'Éther et le Jour. Mais elle avait engendré seule, sans le commerce d'aucune divinité, l'inéluctable et inflexible Destin, la Parque noire, la Mort, le Sommeil, la troupe des Songes, Momus, la Misère, les Hespérides, gardiennes des pommes d'or, les impitoyables Parques, la terrible Némésis, la Fraude, la Concupiscence, la triste Vieillesse et la Discorde opiniâtre ; en un mot, tout ce qu'il y a de fâcheux dans la vie passait pour une production de la Nuit. Elle est parfois appelée en grec Euphroné et Eubulie, c'est-à-dire Mère du bon conseil. Les uns plaçaient son empire au nord du Pont-Euxin, dans le pays des Cimmériens ; mais généralement il est placé vers la partie de l'Espagne nommée Hespérie, c'est-à-dire contrée du Soir, près des colonnes d'Hercule, limites du monde connu des anciens.

La plupart des peuples de l'Italie regardaient la Nuit comme une déesse; mais les habitants de Brescia en avaient fait un dieu, nommé Noctulius ou Nocturnus. La chouette, qu'on voit aux pieds de ce dieu tenant un flambeau renversé qu'il s'efforce d'éteindre, annonce celui qui est l'ennemi du jour.

Dans les monuments antiques, on voit la déesse la Nuit tantôt tenant au-dessus de sa tête une draperie volante parsemée d'étoiles, ou avec une draperie bleue et un flambeau renversé ; tantôt figurée par une femme nue avec de longues ailes de chauve-souris et un flambeau à la main. On la représente aussi couronnée de pavots et enveloppée d'un grand manteau noir étoile. Elle est parfois montée sur un char tiré par deux chevaux noirs ou par deux hiboux, et elle tient sur sa tête un grand voile parsemé d'étoiles. Souvent on la place dans le Tartare, entre le Sommeil et la Mort, ses deux enfants. Quelquefois elle est précédée d'un enfant portant un flambeau, image du crépuscule. Les Romains ne lui donnaient pas de char, et la représentaient oisive et endormie.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par alain90 Jeu 28 Aoû - 11:45

Jeu historique - Page 30 3862193178



I comme Iyasou Ier d'Éthiopie


Iyasou Ier (né en 1654 et mort le 13 octobre 1706) fut Négus d’Éthiopie de 1682 à 1706 sous le nom d'Adyam Sagad Ier.

Biographie[modifier | modifier le code]Il succède à son père Yohannès Ier.

Iyasou est le dernier souverain puissant que connaît l’Éthiopie avant de tomber dans un siècle et demi de désordres. Son règne autoritaire est jalonné de synodes où les religieux des différentes tendances discutent sur les natures du Christ. Le roi est parfois obligé de réprimer leurs ardeurs.


Palais de Iyasou dans le Fasil Ghebbi à GondarIyasou mène des expéditions contre les Chanqalla des frontières occidentales et contre les Galla. Ceux du Guibié, païens, ont emmené en esclavage plusieurs milliers de chrétiens et en sacrifient à l’occasion pour apaiser leurs dieux. Les troupes Éthiopiennes les taillent en pièces. Leur chef Dilamo est décapité. Au Choa, où il visite le sanctuaire de Tédbaba-Maryam, Iyasou montre sa force pour éviter de l’employer. Il réduit au respect le naïb établi par les Turcs à Arkiko, qui voulait prélever une taxe sur les présents destinés au souverain, en supprimant son ravitaillement venu d’Éthiopie.

L’Éthiopie est alors particulièrement prospère grâce à la fréquence des caravanes envoyées vers les ports de l’Érythrée et par le Sennar, vers l’Égypte.

Iyasou fait construire à Gondar le sanctuaire de Debra-Berhan (Couvent de la Lumière). Il édifie à Gondar un second palais luxueux, orné d’ivoire avec des plafonds dorés, des boiseries ornées de peintures, de hauts miroirs. Son règne est marqué par le faste et les grandes chasses auxquelles il participe activement (il est blessé par un buffle).

Iyasou fait réviser le Fétha-Nagast, qui sert de code au royaume. Les règles judiciaires sont perfectionnées.

En 1706, le négus Iyasou le Grand doit abdiquer devant les intrigues de son fils Takla Haïmanot. Il se retire dans un monastère sur une île du lac Tana. Quelques mois plus tard, le 13 octobre 1706, Takla Haïmanot, qui craint son retour sur le trône, le fait assassiner : abattu d’un coup de fusil, il est achevé à la lance. Iyassou est inhumé dans une tombe monumentale sur Mitraha une île du lac Tana. Sa mort brutale le fait considérer comme saint et martyr. L’Éthiopie sombre ensuite progressivement dans l’anarchie.
alain90
alain90
president d hippodrome

Nombre de messages : 36598
Age : 74
Date d'inscription : 16/10/2011

Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Mer 3 Sep - 7:22

Jeu historique - Page 30 265389628   les amis  Jeu historique - Page 30 875551000


ASCAGNE


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Énée fuyant Troie avec Anchise sur le dos, accompagné de son fils Ascagne et de son épouse, amphore grecque d'Étrurie, v. 470 av. J.-C., Staatliche Antikensammlungen

Dans la mythologie grecque et romaine, Ascagne (en grec ancien Ἀσκάνιος / Askánios) ou Iule est le fils d’Énée et de Créuse (la fille de Priam).

Selon la version la plus ancienne et la plus traditionnelle de la légende, Ascagne s’enfuit de Troie avec son père et son grand-père paternel Anchise. Plus tard, il aurait été envoyé par son père en Propontide pour y régner avant de se joindre à son cousin Astyanax, le fils d’Hector, afin de rétablir la cité de Troie. Une seconde version prétend qu’Ascagne accompagna son père en Italie et revint avec lui à Troie où, devenu vieux, Énée aurait régné avant de céder le royaume à son fils. Une dernière version, que l'on retrouve notamment chez Tite-Live (Histoire romaine - Livre I - « Fondation d'Albe-la-Longue ; la série des rois albains »), estime qu'Ascagne serait le fils d'Enée et de Lavinia, fille du roi Latinus qu'épouse Enée après être arrivé en Italie (Tite-Live, Histoire romaine, livre I). À noter que Tite-Live cite les deux dernières versions comme également plausibles.

Cependant la tradition la plus connue est la tradition romaine, reprise dans l'Énéide, où Ascagne fait souche en Italie à la suite de son père. Virgile nous le représente comme un personnage incarnant l’espoir des Troyens survivants, adoré par son père et sa grand-mère paternelle, la déesse Aphrodite, mais parfois maladroit, qui par exemple déclenche les hostilités avec les Latins en tuant une biche sacrée.

À la mort de son père, la tradition romaine représente Ascagne régnant sur les Latins et les Troyens réunis, luttant contre les Étrusques sur lesquels il aurait remporté une victoire au bord du Numicius. Enfin il est considéré comme le fondateur d'Albe-la-Longue, trente ans environ après la fondation de Lavinium par son père. Il y est contraint par l’hostilité des Latins, lesquels prennent le parti de sa belle-mère Lavinia, veuve d’Enée et de son demi-frère Silvius. C’est pourtant ce dernier qui lui succède sur le trône d’Albe.

Il est connu parfois chez les Romains sous le nom de Iule, en latin Iulus, ce qui permettait à la famille des Iulii de prétendre descendre de lui. L’origine de ce nom est expliquée de la façon suivante : à la disparition d’Énée des combats éclatent entre les Troyens unis aux Latins, dirigés par Ascagne, et les Rutules et leurs alliés étrusques. Ascagne est victorieux et reçoit le surnom d’Iobum ou Iolum diminutif de Jupiter. Ascagne par ce surnom serait devenu le « petit Jupiter ». Caton dans ses Origines rapporte déjà cette étymologie. Une autre tradition attribue ce nom au fils d’Ascagne, écarté du trône d’Albe par son oncle Silvius qui en fait un prêtre.

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Mer 3 Sep - 7:56

Jeu historique - Page 30 565987 les photos

Bon mercredi à vous

C comme CÉSAR

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par alain90 Jeu 11 Sep - 12:00

Jeu historique - Page 30 1352686948 Les amis.

S comme Siméon Ier de Bulgarie


Le tsar Siméon Ier le Grand (parfois Syméon), en bulgare Симеон I Велики, translittéré Simeon I Veliki (API: /si.mɛ.ˈɔn ˈpɤr.vi vɛ.ˈli.ki/), régna sur la Bulgarie entre 893 et 927. Les campagnes qu'il mena contre l'empire byzantin, les Magyars et les Serbes conduisirent à l'apogée territoriale de la Bulgarie, qui devint la puissance dominante des Balkans et de l'Europe orientale. Son époque, également marquée par une prospérité culturelle sans précédent, fut par la suite considérée comme l'âge d'or de la civilisation bulgare.

Sous son règne, la Bulgarie s'étendit sur un territoire compris entre la mer Égée, la mer Adriatique et la mer Noire, et la nouvelle capitale bulgare, Preslav, était comparée à Constantinople. L'Église orthodoxe bulgare devint le premier patriarcat depuis la Pentarchie, et les traductions glagolitiques bulgares des textes chrétiens se répandirent dans tout le monde slave de l'époque. Vers la moitié de son règne, Siméon abandonna son titre de prince (knyaz) et prit celui d'empereur (tsar).
alain90
alain90
president d hippodrome

Nombre de messages : 36598
Age : 74
Date d'inscription : 16/10/2011

Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Jeu 9 Oct - 19:27

Jeu historique - Page 30 265389628   les amis  Jeu historique - Page 30 875551000


MARPESSA



Dans la mythologie grecque, Marpessa (en grec ancien Μάρπησσα / Márpêssa) est une princesse d'Étolie. Fille d'Événos (et donc petite-fille d'Arès) et d'Alcippe, elle apparaît dans les mythes comme objet de convoitise d'Idas et Apollon, entre lesquels Zeus lui demande de choisir.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Idas et Marpessa séparés par Zeus d'Apollon, psykter attique à figures rouges d'Agrigente

IDAS & MARPESSA

Idas était le fils du roi de Messénie, Apharée et d'Arénè. Mais il passe parfois pour le fils de Poséidon et d'Aréné. Les Apharéides, Idas et Lyncée, son frère, étaient inséparables comme leurs cousins germains, les Dioscures. Idas était fort en gueule et Lyncée avait une vue si perçante qu'il pouvait voir à travers le sol. Ils participèrent à l'expédition des argonautes et à la chasse au sanglier de Calydon.

Marpessa (celle qui arrache) est la fille d'Evénos et d'Alcippé; elle fut remarquée par Apollon et Idas, qui désiraient tous deux l'épouser.


Evénos eut l'idée d'organiser une course de chars pour départager les deux prétendants. Grâce au char ailé prêté par Poséidon, Idas l'emporta.

Evénos désira lui aussi se mesurer à son futur gendre mais voyant la victoire lui échapper, il préféra se jeter dans le fleuve Lycormas qui désormais prit son nom.
Dans une autre version le père furieux poursuivit les deux amoureux qui fuyaient sur le char de Poséidon et tomba dans le fleuve.

Apollon qui ne s'avouait pas vaincu enleva Marpessa et la transforma en martin-pêcheur.
Alors les deux prétendants en vinrent aux mains et Zeus intervint en demandant à la jeune fille de choisir elle-même.
Craignant qu'Apollon ne l'abandonne quand elle serait devenue vieille, elle choisit Idas.
Elle donna naissance à une fille, Cléopâtre qui épousa plus tard Méléagre.

Idas décida d'envahir la Teuthranie mais il fut repoussé par Télèphe. Idas et Lyncée furent tués au cours d'une querelle avec les Dioscures, leurs cousins.

A l'annonce de la mort de son mari, Marpessa se suicida. Comme Apharée n'avait pas d'autre héritier, le royaume passa aux mains de Nélée ou à celles de son fils Nestor, roi de Pylos.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Marpessa

Invité
Invité


Revenir en haut Aller en bas

Jeu historique - Page 30 Empty Re: Jeu historique

Message par Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Page 30 sur 31 Précédent  1 ... 16 ... 29, 30, 31  Suivant

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum